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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 16:05

Michel Onfray bien connu pour ses polémiques et ses rejets souvent justifiés de ce qui « est » et a été, détricote la personnalité de Sigmund Freud et déconstruit brillamment le freudisme dans un ouvrage remarquable  Crépuscule d’une idole. L’affabulation freudienne. Aux éditions Le Livre de Poche

Il montre, écrit et prouve, documents et courriers (de SF lui même) à l’appui que SF n’est rien moins qu’un piètre philosophe, sûrement pas un psychanalyste et évidemment un grand névrosé. Ses nombreux écrits, une fois décrypté sont l’expression de cette pathologie.

A vos livres

JLA
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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 15:15

 

 

« Ses compagnes de vie » sûrement des femmes remarquables quoique la mère de ses deux aînés avait mal tourné. Il avait appris depuis peu qu’elle l’avait « Assassiné » auprès de leurs enfants, mauvais chemin, schizophrénie, névroses profondes ? Il ne s’embarrassait pas de ces mensonges et avait décidé de tourner la page.

 

Il préférait nettement se préoccuper de lui, essayer jour après jour de mieux comprendre l’homme, continuer à être sensible aux charmes et à la beauté des femmes, à mieux les comprendre. Il avait d’ailleurs pu remarquer qu’il avait un certain succès ; à vrai dire il n’était pas beau mais avait un discours qu’elles aimaient entendre, il savait faire rire, flatter, et tout simplement séduire. Il s’agissait bien là d’un voyage virtuel mais néanmoins de découverte de l’autre qui est à lui seul (elle seule) un continent à découvrir ! Des formes vallonnées aux douces tiédeurs , des faces cachées ou « pile » montrées, il aimait  voyager dans ces contrés odorantes et charnelles.

 

. . . .  à suivre

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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 13:14

 

Du 22 au 26 aout Aurillac ouvre ses portes et ses rues aux saltinbanques, cracheurs de feu, musiciens, acteurs et autres jongleurs des rues. Si vous passez par là, c'est parfois "Magique" et toujours gratuit .

 

 

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Autres photos de l'édition 2011 sur ce lien

 


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19 août 2012 7 19 /08 /août /2012 14:32

ALGERIE--3--2008 0930

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19 août 2012 7 19 /08 /août /2012 13:26

Aigues-Mortes de 1893 à 2012 : une certaine idée du socialisme français

La ratonnade manquée d'Aigues-Mortes, relatée dans les médias et singulièrement dans Le Monde (ici), si elle ne laisse pas d'inquiéter quant à la fascisation d'une partie de la France et singulièrement d'un département, doit aussi nous rappeler l'éternel rôle abject de la gauche parlementaire dans ce genre d'affaires.

Le fascisme putride émergé de marais morts camarguais n'est hélas pas nouveau mais la réaction du maire socialiste d'Aigues-Mortes n'étonnera que les éternels dupés du socialisme français. Au moment du pogrom italianophobe de 1893, la ligne de Jules Guesde était certes plus trash mais du même acabit. Celui-ci, futur partisan de l'Union sacrée sautant à pieds joints dans l'approbation de la boucherie de 1914, parlait des ouvriers étrangers comme de barbares volant le pain des Français (ici). Le socialisme français est français, pour sûr, mais c'est son seul trait. Pour le socialisme, circulez, y a rien à voir ! Ou alors, mieux que le socialisme dans un seul pays... Le social pour les petits-blancs !

Aujourd'hui, peu de choses ont changé. Le maire, Cédric Bonato, d'Aigues-Mortes ne souhaite pas se prononcer sur le crime heureusement raté d'Aigues-Mortes. Sait-on jamais, après tout, hein, si par accès xénophile, il perdait les élections, quelle misère, ce serait... Et puis les étrangers, hein, ça va bien ! Porté, en plus, par un président normal incapable de dire que "Non, il n'y a pas trop d'étrangers en France !", Cédric Bonato serait bien bête de se tirer une balle dans le pied pour un principe !

Qu'il y ait des furieux racistes ou fascistes pour tirer sur des Arabes comme sur des perdreaux ne nous étonnera pas, hélas. Lorsque de tels faits sont rares, c'est avant tout de l'ordre de la psychopathologie politique ; quand en revanche, de tels faits sont ostensiblement approuvés par la population morte (morte à la vie, morte à l'autre, morte au monde, rabougrie, haineuse...), alors il faut inverser substantif et adjectif et parler de politique psychopathologique.

Si cette politique criminelle a pignon sur rue, si elle se croit raisonnablement opinion, c'est évidemment parce que le parti des opinions bistrotières et criminelles est admis au club du parlementarisme respectable. Mais si ce parti des ténèbres, pour reprendre Jacques Roubaud, a ce statut-là, c'est parce que le parlementarisme tout entier, fondamentalement, n'y trouve rien à redire. Pire, l'électeur français est infiniment plus respectable que l'ouvrier marocain qui lentement s'empoisonne en goudronnant les routes mais qui ne vote pas et dont, par conséquent, l'avis ne compte pas.

A Aigues-Mortes, et visiblement dans le département du Gard (Cévennes rebelles et camisardes exceptées), les choses se tendent et la guerre civile verbale appelée par le FN commence à prendre forme. Le PS qui ne veut pas se mouiller se retrouve donc coincé. Le racolage en direction des beaufs racistes lepénisés risque de faire tâche et peu démocratique... On attendrait une volte-face... Mais non, rien... Valls attaque les Roms, MM. Bonato et Hollande se taisent.

S'ils parlaient, que diraient-ils, du reste ? Défendraient-ils le prolétariat international de France et, accessoirement, du Gard ? Défendraient-ils la France pour tous ceux qui y vivent ? Ne parleraient-ils pas de "problème immigré" comme PC et PS jadis, d' "intégration" ratée ?

Guesde était odieux, Bonato lâche et Defferre, si longtemps maire de Marseille, infâme. Pour ceux qui auraient oublié ses affiches aux différentes municipales à partir de la fin des années 1970, l'édile légendaire de la cité phocéenne se vantait de maîtriser l'immigration sauvage... Dans les moments où les situations politiques se tendent et où émergent deux lignes frontalement ennemies, le PS "au mieux" fait silence, au pire joue sa musique nationale-républicaine... Et c'est toujours comme ça !

C'est dire si les faits glauques récents d'Aigues-Mortes nous rappellent que de Jules Guesde à Manuel Valls en passant par Jean-Pierre Chevènement, l'indulgence - à tout le moins... - pour la xénophobie est constitutive d'un certain socialisme français. Et ce, sans parler des guerres coloniales...

Sources : Mediapart.fr

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18 août 2012 6 18 /08 /août /2012 19:59

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18 août 2012 6 18 /08 /août /2012 19:55

 

Vue de la cité médiévale d'Aigues-Mortes dans le Gard où un homme a tiré sur un groupe de jeunes samedi soir 4 août.

 

Voilà près de deux semaines que William Vidal et Monique Guindon, 44 ans tous deux, sont en prison. Dans la nuit du 4 au 5 août à Aigues-Mortes (Gard), ils s'en sont pris à une dizaine de jeunes qui bavardaient devant l'épicerie Viva, à l'angle des rues du Vieux-Bourgidou et Jeanne-Demessieux, quartier du Bosquet, un endroit ni beau ni moche, situé un peu à l'extérieur de la cité fortifiée. Cette nuit-là, entre minuit et demi et 1 heure, alors qu'ils circulaient à bord de leur Citroën Xsara, William et Monique ont voulu "se faire des Arabes". Une ratonnade à eux tout seuls.

Lui était un peu alcoolisé - 1,8 gramme dans le sang - et elle, à jeun. Ils se sont arrêtés une première fois à la hauteur du groupe de jeunes gens. Lorsque l'un d'eux s'est approché pour demander s'ils voulaient un renseignement, ils ont démarré. Ils sont revenus dix minutes plus tard, armés d'un fusil de chasse. Ils se sont de nouveau arrêtés au même endroit et, sans sortir de sa voiture, William s'est écrié : "C'est pas un Arabe qui va me donner un renseignement !" Puis il a tiré une première fois en l'air.

Effrayés, les jeunes se sont enfuis, les uns à gauche vers le terrain de basket, les autres à droite dans un lotissement. William et Monique ont alors entamé la poursuite - "la chasse à l'homme", dira le procureur. Fenêtres de la voiture grandes ouvertes, William brandissait son fusil tandis que Monique criait : "On est en France ici. On est chez nous !"

La scène s'est prolongée pendant une vingtaine de minutes, le temps pour William de tirer au moins neuf coups, de blesser un jeune à l'épaule et au bras, de viser une dame et sa fille de 9 ans qui passaient en voiture. A ses côtés, Monique - la plus vindicative, selon les jeunes - rechargeait le fusil. Alertés, les gendarmes ont fini par intercepter le couple, qui a été condamné dès le 6 août par le tribunal correctionnel de Nîmes en comparution immédiate pour "violence avec armes et incitation à la haine raciale". William a pris quatre ans ferme et Monique, deux ans. Incarcérés à l'issue de l'audience, l'un et l'autre ont fait appel du jugement.

Par miracle, il n'y a eu ni mort ni blessé grave, mais l'affaire laisse un profond traumatisme et les victimes restent sous le choc : "On n'a jamais eu de souci avec personne. On est tous né ici. On est allé à l'école ici. Tout le monde nous connaît."

Agés de 20 à 25 ans, les uns sont étudiants en master à Montpellier, les autres ingénieur dans une société à Marseille ou vendeur en téléphonie, ou encore employé saisonnier dans la commune. Aucun d'eux n'a jamais eu affaire à la police, pas plus qu'ils n'ont eu "la moindre embrouille" avec leurs agresseurs. Lesquels, tous deux également habitants et natifs d'Aigues-Mortes, ne sont pas non plus des voyous. Certes, William a écopé d'une condamnation pour conduite en état d'ivresse, mais de là à brosser le portrait d'un dangereux délinquant, il y a un pas.

Depuis plusieurs années, William et Monique vivent ensemble dans cette petite ville du coeur de la Camargue où, l'été, les touristes se pressent par milliers le long des rives du canal et dans les rues étroites à l'intérieur des remparts. Lui travaille au cimetière où la municipalité l'emploie. Un honnête travailleur, qui boit sûrement plus qu'il ne faudrait mais sans déchoir pour autant. Probablement un brave type ! C'est en tout cas ce qu'assurent tous ceux qui, dans la ville, le connaissent et prennent aujourd'hui sa défense, n'hésitant pas, sur Internet, à fustiger la justice trop clémente "avec les Arabes" et trop dure "avec les Français".

 ATMOSPHÈRE LOURDE

"Ils oublient la gravité des faits", s'agace le procureur de la République de Nîmes, Robert Gelli, qui "n'avait jamais vu ça : un tel niveau de violence qui aurait pu tourner au carnage". Réaction identique du préfet du Gard, Hugues Bousiges, qui, tout en condamnant "avec la plus grande fermeté ces actes", regrette que"manifestement, des gens n'ont pas compris la gravité des faits et la sanction qui a suivi". Seul Cédric Bonato, maire (PS) d'Aigues-Mortes, refuse de commenter les faits, soucieux, selon ses proches, de "pacifier" une situation décrite comme explosive.

C'est que, loin de manifester la moindre compassion à l'égard des jeunes tirés comme des lapins, nombre de ses administrés ont choisi le camp des coupables avec d'autant moins de complexes qu'"il n'y a pas eu mort d'homme". Tout juste une sorte de jeu, peut-être un coup de sang qui, dans leur esprit, doit bien se justifier d'une manière ou d'une autre. "Pour eux, la justice est injuste. Ils sont en incapacité de comprendre", indique un responsable local qui souhaite conserver l'anonymat.

Les autorités administrative et judiciaire locales ne le dissimulent pas : une atmosphère lourde de menaces plombe ce coin du Gard où la population tend de plus en plus à se replier sur elle-même et où, à chaque élection, le Front national réalise des scores importants.

Gilbert Collard, l'un de ses représentants, a été élu député dans cette circonscription en juin avec le soutien tacite des élus de la droite locale. "Les propos qu'on tenait sous le manteau il y a quelques années émergent aujourd'hui dans la sphère publique", constate le procureur Gelli.

Ainsi, le 5 août, dans les heures qui ont suivi la ratonnade, des jeunes gens ont profité d'une course camarguaise au Cailar, à quelques encablures d'Aigues-Mortes, pour faire irruption dans l'arène au cri de : "On n'a pas de bougnoules chez nous ! On est des fachos !" La mairesse a aussitôt condamné cet acte et le parquet de Nîmes a ouvert une enquête préliminaire afin de retrouver les auteurs. Même le président (PS) du conseil général du département, Damien Alary, s'inquiète de ces dérives de plus en plus fréquentes. L'élu voit dans "cette escalade le résultat de dix ans de banalisation d'un discours de rejet".

Un Aiguemortais, impliqué dans les affaires de la commune, s'alarme également de ce passage à l'acte : "Quand les difficultés sociales et économiques pèsent sur cette terre camarguaise, il est de bon ton de rendre l'autre responsable. La haine de l'autre est exacerbée." Au premier trimestre 2012, le taux de chômage dans le département atteignait 13,1 %.

Chacun ici garde en mémoire un épisode tragique de l'histoire locale qui remonte au 16 août 1893. Ce jour-là, des ouvriers aiguemortais ont massacré des immigrés italiens venus pour échapper à la misère, et ouvriers comme eux aux Salins du Midi. Il y eut au moins 8 morts côté italien, et les autochtones, relayés par la presse locale, en profitèrent pour rivaliser de propos nationalistes et xénophobes contre "les ritals".

Yves Bordenave

Les atteintes contre les musulmans en hausse

 

L'un des indicateurs de mesure des actes racistes en France est le baromètre annuel de la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH), créé en 2009. Or, selon les derniers résultats de ce baromètre, communiqués en mars, il y a eu, en 2011, une "hausse de la méfiance à l'égard des musulmans&" : 51 % des sondés ont estimé que les musulmans formaient "un groupe à part" (+ 6 points par rapport à 2009) et 59 % qu'il y avait trop d'immigrés en France (+ 12 points).

Les actes racistes, antisémites ou xénophobes constatés par la police sont un autre indicateur. En 2011, ils étaient en baisse de 7 %. Une chute due, notamment, à la difficulté d'établir ces faits juridiquement. Mais cette moyenne cache de fortes disparités. Les actes racistes étaient en baisse (-2,4 %, 865 faits en 2011 contre 886 en 2010), les actes antisémites aussi (- 16,5 %, 389 faits en 2011 contre 466 en 2010). Mais les atteintes contre les musulmans ont augmenté de 33,6 % (155 faits en 2011 contre 116 en 2010).

 

Sources : Lemonde.fr

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18 août 2012 6 18 /08 /août /2012 15:13

 

Néanmoins le projet Tchad allait et venait dans sa tête au grés de ses délires et rêveries, délires et fantasmes, humeurs et égotismes ! Constituer un groupe, en être le leader, le chef ! Il aimait « Etre Chef », se « Sentir Chef », être considéré comme tel. Vieil atavisme d’orgueil lié à ses origines espagnoles ?

 

Mais non, trop d’échecs, de douleurs, de joies perdues au fil des kms lui avaient appris qu’il est plus difficile de choisir ses compagnons de voyage que ses compagnes de vie ! Le voyage étouffe, oblige à une promiscuité quotidienne, sans porte de sortie

 

. . . .  à suivre

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17 août 2012 5 17 /08 /août /2012 15:39

Syr-Lib-2010-386

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16 août 2012 4 16 /08 /août /2012 17:09

 

De retour dans ses lectures -  il se tapait quasiment un bouquin par jour -  il venait de tomber sur Manifeste pour la terre et l’humanisme de Pierre Rabhi et fidèle à lui même, à son ardent plaisir, désir de « faire », mais encore plus « d’entreprendre », de « vaincre » il envisageait déjà de se rendre au Hameau des Buis en Ardèche.

 

Depuis un mois la lecture avait un peu pris la place du PC. Combien de temps cela durerait il ? Peu importe, il prenait du plaisir et compte tenu de  l’ennuie que pouvait engendrer la vie à Ramb il ne ressentait aucune culpabilité à s’isoler dans ses lectures.

 

L’ivresse virtuelle que lui procurait la préparation de ses projets de voyage était un peu tombée, non qu’il aie ressenti la moindre gueule de bois mais plutôt une sorte de lassitude, un engouement moindre pour sa propension à générer un groupe, moins de prosélytisme pour « Le voyage ». Après tout chacun partait qd et où il voulait, il s’en foutait.

 

 

. . . . à suivre 

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