La conversation entre Jiéla et Louis roula encore longtemps – un deuxième calva aidant – sur le corps voluptueux de Léa puis glissa grivoisement sur les douceurs qu’elle aimait offrir et recevoir. Louis se souvint qu’ils avaient à une époque fréquenté les hammams de luxe du Caire où il était possible de se retrouver en couple, à trois ou même à quatre et où Léa aimait passer de longs moments. L’air chaud et humide rempli de senteurs érotisantes apaisait les uns et les autres et permettait de se parler doucement, de se chuchoter des douceurs coquines à l’oreille. Puis doucement les mains frôlaient des vits qui n’attendaient que ça, des doigts délicats s’approchaient de boutons de rose turgescents. La vraie fête des corps pouvait commencer.
. . . prochain billet le 20 oct.